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vendredi 1 décembre 2017

Faux-Caïds

Faux-Caïds

Et toi qui me regarde,
Tu crois que je vais pleurer pour que tu m'épargne
Penses-tu vraiment que tu puisses éteindre ma flamme,
Tu dis que tu veux prendre mon âme, et passer à table,
Mais j’en ai rien à battre, viens je t’attends porte tes couilles,
Viens me le dire en face, au lieu de rester sur place,
Tu m’fais des menaces mais t’es incapable de me regarder en face,
J’ai pas peur de me regarder dans le miroir, j’ai vaincu mes démons,
J'ai pris tellement de coups, alors tu penses que j’ai peur des p’tits cons,
J’me pleins plus car j’me contente de ce que j’ai,
Et je n’ai pas besoin de toute cette gloire, j’suis déjà le number one,
Alors dit moi combien tu veux que je te paies,
Afin que tu sache ce que ça fait d’être au top,
J’ai qu’un seul regret pour toi c’est que tu ne sois pas un homme,
Mais t’en fait pas, viens j’te grefferais une paire de boules, 
Mais même avec ça tu resteras minable,
Je suis le diable et tu es ma pute,
Tu vis en te voilant la face,
Tu t’enfonces chaque jour qui passe,
J’peux pas t’en vouloir, tu reflète ton image,
Mais tu joues avec mes nerfs,
Et je te tiens en laisse, comme une chienne,
Alors n’approches pas trop tu risquerais de ne plus y voir clair,
Dans ce monde personne ne t’aideras,
Ça ne sert à rien de crier, relève toi bordel,
Comme un soldat, prend part au combat
Prend toi pas pour le chef si tu n’es pas sur le champ de bataille,
T’es comme les politiques,
T’as une grande gueule mais tu fais pas grand choses,
T’es sans conviction, alors rien à foutre de tes opinions,
Tu veux être au pouvoir juste pour toucher le million,
Mais qu’est-ce que tu veux me faire, 
T’es qu’un fraudeur et je suis boxeur,
Vas y viens, montes sur le ring, toi qui t’appelle le king,
On verra bien si tu tiens jusqu’au gong,
Je n’ai pas peur de recevoir des coups,
Je sais encaisser et je vais toujours jusqu’au bout,
Et dit moi, es-tu sur de vouloir te prendre pour Balboa,
Alors que toute ta vie tu te l’est prise comme Nabila,
Mon texte est peut être violent et dur,
Mais je ne suis pas là pour être dou, j’viens forger le caractère, 
Tu crois tout savoir mais d’où viennent tes connaissances,
Quand tu as quitté l’école avant même ton adolescence,
Tu m’es la faute sur tes parents trop présent,
Mais écoute mon grand, tu serais pas là s’ils étaient absent,
Donc ferme ta gueule, et remercie les,
Il t’offre un toit et de quoi manger,
Alors arrête de faire ton caïd, et au lieu de te droguer,
Vas plutôt aider ta mère à porter les courses,
Apprend les vrais valeurs de la vie et sorts toi de cette merde,
Tu crois que l’argent va tomber du ciel,
Mais mon vieux, en pensant comme ça,
Le jours ou tes parents seront plus là,
Tu iras chercher les miettes dans les poubelles,
Tu penses que ce que je dis est cruel,
Mais toi tu ne l’es pas en frappant ta mère, 
Viens plutôt te battre avec quelqu’un de ta taille,
Mais je serais pas aussi gentil que Lucifer,
Et si tu ne comprends pas ça tu ne seras jamais adulte,
Mon pauvre regarde toi tu es aussi gros qu’une vogue,
Je te fumera en moins de deux,
Tu baisse déjà les yeux devant moi,
Mais attend je n’ai pas encore fini crois-moi,
Ce n’était que le début et tu es déjà essouffler,
Je vais mettre le bouton sur pause et te laisser reprendre tes esprits, te laisser médité,


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